I took this video during our field excursion in the bush at Harmony Seminar Centre, outside Windhoek, Namibia, on 27th August 2008. Louis Liebenberg is explaining how his technology, the Cybertracker, works, and Georges Thierry Handja is translating into French.
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Monday, September 15, 2008
Becoming a regular Contributor to the IPACC Blog
IPACC will endeavour to have at least one mobile PC/notebook available at all conferences, meetings and workshops, to allow participants to blog about their event experiences and share the knowledge they gain with others. Blog posts may be anonymous members of IPACC, or if you prefer, feel free to add your name to the bottom of your post.
If you feel that you would like to regularly blog about a specific issue, or issues in general, please send us an email [ipacc.blog(at)gmail.com], and we will send you an Invitation to become a Regular Contributor.
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Sunday, September 7, 2008
GIT TEK Workshop IPACC/CTA Namibia Video
Now for a quick Video showing some activity
Enjoy!
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Monday, September 1, 2008
Saturday, August 30, 2008
mohamed in namibia
hello,
The workshop is over. It was a nice time for sharing our experiences and learn, please leys stay in touch through this blogto keep things moving. Hope everybody found his family, tribe and clan very fine,
Ewangaye Mohamed
The workshop is over. It was a nice time for sharing our experiences and learn, please leys stay in touch through this blogto keep things moving. Hope everybody found his family, tribe and clan very fine,
Ewangaye Mohamed
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Friday, August 29, 2008
Thursday, August 28, 2008
Demonstration video from Web 2.0 Presentation
Hello everyone
As promised during the Web 2.0 presentation yesterday, here's the short video clip I took on my cellphone. I should have taken Peter Kuria's advice to "pan the camera slowly", but since this is just an example, I think we can let the aweful video quality slide this once. I'll try and do a clearer, better quality clip before the end of the workshop and post it here.
The steps I followed to get this video online are quite simple.
1) I captured a short clip on my cellphone video camera
2) Using Bluetooth, I sent the video to my laptop computer.
3) I then logged on to www.youtube.com and created a free account, to which I uploaded my video.
4) After uploading, Youtube provided me with a small piece of html code. I copied that code down, and logged in to the IPACC.blog, added a new post, and pasted the code into the post. And voila! Here it is! Enjoy! And again, apologies for the bad filming quality - I'll pan the camera slower next time.
Dillon
As promised during the Web 2.0 presentation yesterday, here's the short video clip I took on my cellphone. I should have taken Peter Kuria's advice to "pan the camera slowly", but since this is just an example, I think we can let the aweful video quality slide this once. I'll try and do a clearer, better quality clip before the end of the workshop and post it here.
The steps I followed to get this video online are quite simple.
1) I captured a short clip on my cellphone video camera
2) Using Bluetooth, I sent the video to my laptop computer.
3) I then logged on to www.youtube.com and created a free account, to which I uploaded my video.
4) After uploading, Youtube provided me with a small piece of html code. I copied that code down, and logged in to the IPACC.blog, added a new post, and pasted the code into the post. And voila! Here it is! Enjoy! And again, apologies for the bad filming quality - I'll pan the camera slower next time.
Dillon
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L’EDUCATION COMME PRIORITE DES PEUPLES AUTOCHTONES
Depuis des milliers d’années, les Peuples Autochtones ont été cités comme des premiers occupants de la planète. Leur mode de vie différait de celui des autres de part le monde. Jusqu’à l’heure actuelle, leur vie reste différente de celle des autres. Ils ont vécu des atrocités, de la marginalisation et de la discrimination.
Avec l’arrivée de la colonisation et du christianisme, on croyait qu’ils allaient alléger la souffrance de ces créatures divines et planifier une politique qui puisse faire fortifier et sauvegarder leurs connaissances, les rendre plus visibles, encourager et soutenir leur éducation qui est une source de tout developpement, comme ils le faisaient aux autres composantes des nations respectives.
Or, la situation a été davantage plus compliquée et a mal tournée contre les Peuples Autochtones. Aujourd'hui, il serait difficile, même si on utilisait des moyens plus sophistiqués pour compter le nombre de Savants, des Docteurs, des maîtres et des Licenciés qui ont existés dans le monde. Combien existent à l’heure actuelle pour les autres composantes de ces nations? Combien de ces éléments cités, existe et ont existé dans les Autochtones depuis que le monde ait été baptisé ainsi ? Des recherches déjà faites, parlons cette fois ci de l’Afrique ; montent qu’il n’y a pas dix ans, pour n’en extrapoler ; qu’il a existé un licencié autochtone. Les raisons n’en étaient autres que la discrimination, la marginalisation et la pauvreté après avoir été expulsés des forêts sans indemnisation ni autre forme d’accompagnement. Aujourd’hui, les Autochtones sont en train de sortir timidement de la coquille de la discrimination et de la marginalisation mais la pauvreté reste braquée sur leurs portes. Les enfants commencent à aller à l’école mais des barrières restent énormes.
Que faut- il faire actuellement? Il est grand temps que les Gouvernements, les Agences des Nations Unies, les Eglises, les Organismes internationales et nationales et les gens de bonne volonté fassent des actions concrètes et interventions intensives en matière de la scolarisation des enfants autochtones et en fassent une priorité dans leurs programmes actions.
HABIMANA Léonard
Unissons-nous pour la Promotion des Batwa « UNIPROBA » (Burundi)
e-mail : lhabimana2002@yahoo.fr
Avec l’arrivée de la colonisation et du christianisme, on croyait qu’ils allaient alléger la souffrance de ces créatures divines et planifier une politique qui puisse faire fortifier et sauvegarder leurs connaissances, les rendre plus visibles, encourager et soutenir leur éducation qui est une source de tout developpement, comme ils le faisaient aux autres composantes des nations respectives.
Or, la situation a été davantage plus compliquée et a mal tournée contre les Peuples Autochtones. Aujourd'hui, il serait difficile, même si on utilisait des moyens plus sophistiqués pour compter le nombre de Savants, des Docteurs, des maîtres et des Licenciés qui ont existés dans le monde. Combien existent à l’heure actuelle pour les autres composantes de ces nations? Combien de ces éléments cités, existe et ont existé dans les Autochtones depuis que le monde ait été baptisé ainsi ? Des recherches déjà faites, parlons cette fois ci de l’Afrique ; montent qu’il n’y a pas dix ans, pour n’en extrapoler ; qu’il a existé un licencié autochtone. Les raisons n’en étaient autres que la discrimination, la marginalisation et la pauvreté après avoir été expulsés des forêts sans indemnisation ni autre forme d’accompagnement. Aujourd’hui, les Autochtones sont en train de sortir timidement de la coquille de la discrimination et de la marginalisation mais la pauvreté reste braquée sur leurs portes. Les enfants commencent à aller à l’école mais des barrières restent énormes.
Que faut- il faire actuellement? Il est grand temps que les Gouvernements, les Agences des Nations Unies, les Eglises, les Organismes internationales et nationales et les gens de bonne volonté fassent des actions concrètes et interventions intensives en matière de la scolarisation des enfants autochtones et en fassent une priorité dans leurs programmes actions.
HABIMANA Léonard
Unissons-nous pour la Promotion des Batwa « UNIPROBA » (Burundi)
e-mail : lhabimana2002@yahoo.fr
Wednesday, August 27, 2008
Importance of Mother Tongue! Indigenous Language (Mbororo)
L’IMPORTANCE DE LA LANGUE MATERNELLE AU TCHAD
La langue maternelle transmise de génération en génération constitue un élément important de l’identité de toute communauté. Il est donc important qu’on la pérennise, la protége et la garde précieusement dans nos communautés respectives. Et cela pour un certain nombre des raisons principales.
D’abord en tant que déterminant identitaire, la langue maternelle est un élément de la diversité et de la richesse culturelle de nos communautés. La langue maternelle est dans notre société d’aujourd’hui comme signe de différence positive et/ou négative. Elle peut être une manière de regarder, de voir l’autre, de concevoir les relations avec les autres.
Ensuite, la langue maternelle est un outil de transmission des savoirs, de la connaissance de l’histoire, des ancêtres fondateurs. Elle permet de transmettre l’éducation de base au sein des communautés. Par exemple chez le peuple peul Mbororo du Tchad, le « PULAAKU » qui est le code de conduite morale que doit assumer tout peul est enseigné uniquement en langue maternelle peule.
LE ROLE QUE JOUE LA LANGUE MATERNELLE DANS LA SOCIETE
En se basant sur ma langue maternelle autochtone « PEULE MBORORO», une langue très belle et chantante, il est vital pour nous de la préserver. Cette langue, aujourd’hui, joue un rôle essentiel dans notre société. En effet face aux mutations diverses (sédentarisation, disparition du cheptel et des espaces naturels de migrations saisonnières, scolarisation, etc.) qui affectent la communauté, elle constitue le principal référentiel culturel porteur de notre identité et de nos traditions. Comme dit plus haut, elle est à la fois, le réceptacle de conservation et le véhicule de transmission de nos manières d’être et de nos savoirs faire traditionnels. Bref elle nous permet de léguer nos us et coutumes de génération en génération. Or cette langue aujourd’hui se trouve menacée et risque de disparaître avec ses richesses innombrables et incalculables. Les enfants peuls parlent plus le français et l’arabe, langues couramment parlées au Tchad au détriment de leur propre langue maternelle. La langue peule est alors seulement conservée dans son intégralité par les Personnes âgées.
En outre, Il est évident aujourd’hui, compte tenu de la marginalisation et de la discrimination dont sont victimes ce peuple, en sus de ce qui a été mentionné plus haut qu’il existe d’autres phénomènes qui précipitent la disparition de cette belle langue. On peut noter entre autres :
Le refus de parler leur langue maternelle par les jeunes générations au motif que les autres vont se moquer d’eux dès qu’ils vont se rendre compte qu’ils appartiennent à la communauté Mbororo.
L’influence néfaste des langues locales suite aux nécessaires migrations imposées par la recherche de nouveaux pâturages;
l’utilisation permanente de la langue arabe comme langue de dialogue dans des secteurs publics comme les hôpitaux, les écoles, les marchés ...
Il est très important de noter un dernier phénomène, le mélange avec d’autres langues fortes. De plus en plus, les jeunes remplacent certains mots de leur langue maternelle par l’équivalent en arabe ou en français en parlant entre eux.
Il est très important que les parents donnent à leurs enfants l’envie de protéger leur langue maternelle et ses savoirs faire traditionnels, par exemple, en organisant des activités culturelles comme : le théâtre, les danses traditionnelles, la musique, la poésie, etc. Cela peut se faire au moins une fois dans l’année en célébrant la journée internationale de la langue maternelle qui est célébrée le 21 février de chaque année.
HINDOU OUMAROU IBRAHIM
Coordinatrice AFPAT
Contact: (+235) 629 25 19
hindououmar@yahoo.fr
La langue maternelle transmise de génération en génération constitue un élément important de l’identité de toute communauté. Il est donc important qu’on la pérennise, la protége et la garde précieusement dans nos communautés respectives. Et cela pour un certain nombre des raisons principales.
D’abord en tant que déterminant identitaire, la langue maternelle est un élément de la diversité et de la richesse culturelle de nos communautés. La langue maternelle est dans notre société d’aujourd’hui comme signe de différence positive et/ou négative. Elle peut être une manière de regarder, de voir l’autre, de concevoir les relations avec les autres.
Ensuite, la langue maternelle est un outil de transmission des savoirs, de la connaissance de l’histoire, des ancêtres fondateurs. Elle permet de transmettre l’éducation de base au sein des communautés. Par exemple chez le peuple peul Mbororo du Tchad, le « PULAAKU » qui est le code de conduite morale que doit assumer tout peul est enseigné uniquement en langue maternelle peule.
LE ROLE QUE JOUE LA LANGUE MATERNELLE DANS LA SOCIETE
En se basant sur ma langue maternelle autochtone « PEULE MBORORO», une langue très belle et chantante, il est vital pour nous de la préserver. Cette langue, aujourd’hui, joue un rôle essentiel dans notre société. En effet face aux mutations diverses (sédentarisation, disparition du cheptel et des espaces naturels de migrations saisonnières, scolarisation, etc.) qui affectent la communauté, elle constitue le principal référentiel culturel porteur de notre identité et de nos traditions. Comme dit plus haut, elle est à la fois, le réceptacle de conservation et le véhicule de transmission de nos manières d’être et de nos savoirs faire traditionnels. Bref elle nous permet de léguer nos us et coutumes de génération en génération. Or cette langue aujourd’hui se trouve menacée et risque de disparaître avec ses richesses innombrables et incalculables. Les enfants peuls parlent plus le français et l’arabe, langues couramment parlées au Tchad au détriment de leur propre langue maternelle. La langue peule est alors seulement conservée dans son intégralité par les Personnes âgées.
En outre, Il est évident aujourd’hui, compte tenu de la marginalisation et de la discrimination dont sont victimes ce peuple, en sus de ce qui a été mentionné plus haut qu’il existe d’autres phénomènes qui précipitent la disparition de cette belle langue. On peut noter entre autres :
Le refus de parler leur langue maternelle par les jeunes générations au motif que les autres vont se moquer d’eux dès qu’ils vont se rendre compte qu’ils appartiennent à la communauté Mbororo.
L’influence néfaste des langues locales suite aux nécessaires migrations imposées par la recherche de nouveaux pâturages;
l’utilisation permanente de la langue arabe comme langue de dialogue dans des secteurs publics comme les hôpitaux, les écoles, les marchés ...
Il est très important de noter un dernier phénomène, le mélange avec d’autres langues fortes. De plus en plus, les jeunes remplacent certains mots de leur langue maternelle par l’équivalent en arabe ou en français en parlant entre eux.
Il est très important que les parents donnent à leurs enfants l’envie de protéger leur langue maternelle et ses savoirs faire traditionnels, par exemple, en organisant des activités culturelles comme : le théâtre, les danses traditionnelles, la musique, la poésie, etc. Cela peut se faire au moins une fois dans l’année en célébrant la journée internationale de la langue maternelle qui est célébrée le 21 février de chaque année.
HINDOU OUMAROU IBRAHIM
Coordinatrice AFPAT
Contact: (+235) 629 25 19
hindououmar@yahoo.fr
IPACC Smoking out Traditional Ecological Knowledge
Many a times, mainstream humanity considers indigenous peoples savages, barbarians with no idea what life is and how one can live. They assume that IPs are ignorant of everything including their own survival techniques. To the "enlightened" mainstream, IPs should be helped out of poverty, their cultures and situations. How wrong they are!
Mainstream humanity with their governments leading, do not consider indigenous knowledge worthy, they make decisions without consulting indigenous peoples and often displace indigenous peoples from their territories.
In pursuit of an easy life, mainstream humanity has flown to the moon and back severally to find the answers. They create gizmos of all kinds and often rape mother to achieve short term goals. They think an easy life means a good life. But contrary to their intentions, their quest for ease has introduced untold suffering and made more life unlivable! "Cities are being swallowed up by rising oceans, the elderly can not now enjoy the streets during summer lest heat waves suffocate them, the rain patterns is causing immense confusion threat mankind's food security, and humanity is in a state of panic!" observes Peter Kuria of Shalin Ry, a Finish NGO
The once despised indigenous peoples are now increasingly being sought out for answers. The main question is .... how do we manage to live in harmony with nature? Without disturbing it yet at the same deriving immense benefits from it?
The Indigenous Peoples of Africa Coordinating Committee (IPACC) is assisting us indigenous peoples from all over Africa to tell the world how we do it. "Through Participatory 3 dimensional mapping and now cybertracker technology, we will now be able to tell our story," comments Francis Kakwetin, an Ogiot from Kenya.
The two technologies will help collect and collate our traditional ecological knowledge, record it via GPS and create geospatial data that will be crucial in monitoring biodiversity and climatic changes. "The technologies will assist in packaging the TEK in a way that can be understood by mainstream scientist and their governments." comments Dr. Nigel Crawal, IPACC Director of Secretariat. "Hopefully, the decision makers will use this knowledge to formulate ecologically friendly policies. It will also stimulate the recognition of the rights of indigenous peoples." he adds.
And by bringing together a cross section of Indigenous Peoples from all backgrounds in Africa - pastoralists and hunter gatherers from both desert and forests to learn and share together with the world leading minds on cybertracker and participatory mapping technologies in a workshop in Windhoek, Namibia, IPACC is marrying the old with the new, the "primitive" and the modern to give the world what it so desperately needs to survive.
"We just hope that governments, NGO's and the business community can pause and listen" laments Mary Simat, IPACC chairperson.


By Kanyinke Sena
Mainstream humanity with their governments leading, do not consider indigenous knowledge worthy, they make decisions without consulting indigenous peoples and often displace indigenous peoples from their territories.
In pursuit of an easy life, mainstream humanity has flown to the moon and back severally to find the answers. They create gizmos of all kinds and often rape mother to achieve short term goals. They think an easy life means a good life. But contrary to their intentions, their quest for ease has introduced untold suffering and made more life unlivable! "Cities are being swallowed up by rising oceans, the elderly can not now enjoy the streets during summer lest heat waves suffocate them, the rain patterns is causing immense confusion threat mankind's food security, and humanity is in a state of panic!" observes Peter Kuria of Shalin Ry, a Finish NGO
The once despised indigenous peoples are now increasingly being sought out for answers. The main question is .... how do we manage to live in harmony with nature? Without disturbing it yet at the same deriving immense benefits from it?
The Indigenous Peoples of Africa Coordinating Committee (IPACC) is assisting us indigenous peoples from all over Africa to tell the world how we do it. "Through Participatory 3 dimensional mapping and now cybertracker technology, we will now be able to tell our story," comments Francis Kakwetin, an Ogiot from Kenya.
The two technologies will help collect and collate our traditional ecological knowledge, record it via GPS and create geospatial data that will be crucial in monitoring biodiversity and climatic changes. "The technologies will assist in packaging the TEK in a way that can be understood by mainstream scientist and their governments." comments Dr. Nigel Crawal, IPACC Director of Secretariat. "Hopefully, the decision makers will use this knowledge to formulate ecologically friendly policies. It will also stimulate the recognition of the rights of indigenous peoples." he adds.
And by bringing together a cross section of Indigenous Peoples from all backgrounds in Africa - pastoralists and hunter gatherers from both desert and forests to learn and share together with the world leading minds on cybertracker and participatory mapping technologies in a workshop in Windhoek, Namibia, IPACC is marrying the old with the new, the "primitive" and the modern to give the world what it so desperately needs to survive.
"We just hope that governments, NGO's and the business community can pause and listen" laments Mary Simat, IPACC chairperson.


By Kanyinke Sena
TEK/GIT
Tek/git is a good initiative for indigenous peoples of africa in advocating for their rights in africa.
Adam Kuleit Ole Mwarabu
Parakuiyo Maasai Tanzania
Adam Kuleit Ole Mwarabu
Parakuiyo Maasai Tanzania
Tuesday, August 26, 2008
RDC : Médecine traditionnelle reconnue par l'OmsDIA
"La médecine traditionnelle est reconnue par l'Organisation mondiale de la santé. Les gens font confiance en ce que nous faisons". Tels sont les propos de M. Ndomikolaye Nkombo Jules, lors d'un entretien accordé à l'agence catholique Dia, à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, RDC. Ce phytothérapeute a exprimé cet avis une semaine avant la commémoration de la Journée africaine de la médecine traditionnelle.
Selon M. Ndomikolaye, l'institution par l'Oms de la Journée africaine de la médecine traditionnelle le 31 août de chaque année, prouve le sérieux avec lequel la médecine traditionnelle est exercée par les praticiens. Il estime que pour être reconnu, celui qui exerce la médecine traditionnelle doit appartenir à une association des tradi-praticiens. A en croire le phytothérapeute, deux associations de ce genre existent déjà en RD. Il s'agit notamment de l'Union nationale des guérisseurs du Congo (Unagco), dont la création date du 16 juin 1985, et de l'Association des phytothérapeutes du Congo (Apc).
Ce phytothérapeute a donné l'information suivante : "Le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle et des plantes médicinales, Pnmt/pm, oeuvrant sous la supervision du ministère de la santé, a pour mission de développer et de promouvoir la médecine traditionnelle ainsi que de réaliser son intégration dans le système national de santé. Cette structure est également chargée d'organiser et de coordonner la promotion et la recherche sur les plantes médicinales".
- Recherches sur les plantes qui soignent
M. Ntondele Diazolo Basile, pharmacien chercheur éthno pharmacologue, travaille pour le transfert de la recherche appliquée sur les plantes médicinales. C'est dans ce cadre qu'il dirige le Centre de recherche et de production des médicaments traditionnels améliorés (Crmta). "Les médicaments commercialisé s par cette structure sanitaire ont déjà reçu l'autorisation de mise sur le marché en RDC et en République du Congo", a affirmé le chercheur congolais.
D'après M. Ntondele, les pharmaciens qui travaillent dans ce centre de recherche sont tous formés dans les universités de la place. Il s'est dit entouré des pharmaciens car ceux-ci sont les spécialistes des médicaments. "Ces spécialistes ont la maîtrise des mécanismes de l'agir des médicaments dans le corps humains", a-t-il conclut.
John KATANGA
Chargé de Recherche et Développement
PREMI congo/Réseau Ressource Naturelle
Selon M. Ndomikolaye, l'institution par l'Oms de la Journée africaine de la médecine traditionnelle le 31 août de chaque année, prouve le sérieux avec lequel la médecine traditionnelle est exercée par les praticiens. Il estime que pour être reconnu, celui qui exerce la médecine traditionnelle doit appartenir à une association des tradi-praticiens. A en croire le phytothérapeute, deux associations de ce genre existent déjà en RD. Il s'agit notamment de l'Union nationale des guérisseurs du Congo (Unagco), dont la création date du 16 juin 1985, et de l'Association des phytothérapeutes du Congo (Apc).
Ce phytothérapeute a donné l'information suivante : "Le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle et des plantes médicinales, Pnmt/pm, oeuvrant sous la supervision du ministère de la santé, a pour mission de développer et de promouvoir la médecine traditionnelle ainsi que de réaliser son intégration dans le système national de santé. Cette structure est également chargée d'organiser et de coordonner la promotion et la recherche sur les plantes médicinales".
- Recherches sur les plantes qui soignent
M. Ntondele Diazolo Basile, pharmacien chercheur éthno pharmacologue, travaille pour le transfert de la recherche appliquée sur les plantes médicinales. C'est dans ce cadre qu'il dirige le Centre de recherche et de production des médicaments traditionnels améliorés (Crmta). "Les médicaments commercialisé s par cette structure sanitaire ont déjà reçu l'autorisation de mise sur le marché en RDC et en République du Congo", a affirmé le chercheur congolais.
D'après M. Ntondele, les pharmaciens qui travaillent dans ce centre de recherche sont tous formés dans les universités de la place. Il s'est dit entouré des pharmaciens car ceux-ci sont les spécialistes des médicaments. "Ces spécialistes ont la maîtrise des mécanismes de l'agir des médicaments dans le corps humains", a-t-il conclut.
John KATANGA
Chargé de Recherche et Développement
PREMI congo/Réseau Ressource Naturelle
Kanyinke in Namibia
Indigenous peoples are picking up tempo, pushed by the environmental agenda. But the impact of all the developments on the lives of forest dwelling communities is negligible. The international community is doing all it can to ensure that traditional knowledge systems are merged with modern technology. The cybertracker training we are having here is one of a kind and will be very important in the monitoring of biodiversity from an indigenous peoples platform.
Annetta Bok Ipacc member
Dear Friends
My name is Annetta Bok i am from the Khomani San community based in the Kalahari dessert in South Africa.Iam in Windhoek attending a workshop on Advocay and Biodiversity.
My name is Annetta Bok i am from the Khomani San community based in the Kalahari dessert in South Africa.Iam in Windhoek attending a workshop on Advocay and Biodiversity.
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