Sunday, November 16, 2008
Irrigable potential of Niger basin estimated at 2.8 million hectares
jeudi 13 novembre 2008
The potential of irrigation of the basin of the Niger River is estimated at 2.816 million hectares, a survey on the cultivation of rice released by the West African Bureau of the UN Economic Commission for Africa (ECA) made available to PANA on Wednesday said.
For Mali, the Office of Niger built in 1932 in the central delta of the river, covered a potential of around 1 million hectares out of hardly 150,000 hectares were exploited after more than seven decades, said the survey.
It noted that the objective of governments of the sub-region was to incorporate, as fast as possible, new dynamics of the cultivation of rice, taking into account the fact that the zone had abundant agricultural potentials.
Around 874 million hectares of Africa's land are considered as physically adapted to the agricultural production with the continent using only 4 per cent of this resource against 40 per cent for Asia, the document pointed out.
In the West African sub-region, the hydro resources estimated at 1,000 billion cubic meters of fresh water is renewed each year through the normal hydro cycle.
In spite of these assets, the study said in 2006, the countries of the Economic Community of West African States (ECOWAS) imported 7.2 million tonnes of rice, which was one-third of the world imports, at the cost of approximately US$ 1.7 billion.
The strong dependence on foreign countries in this field is a serious handicap on macro-economic stability in the West African sub-region.
Soaring prices of food products, in particular rice, over the first quarter of this year, triggered demonstrations in many of the countries of the sub-region.
Sub-regional rice consumption is in constant progression, approximately 9.6 per cent over the period 2001-2006.
The sub-regional production estimated at approximately 6.13 million tons in 2006 covered only 49 per cent of the sub-region's needs.
The principal rice producing countries of the sub-region are Nigeria, with 2.63 million tons, followed by Guinea with 898,000 tons, Sierra Leone with 711,000 tons and Mali with 682,000 tons.
Bamako - 12/11/2008
Sunday, November 9, 2008
Saturday, November 8, 2008
Video from Marrakech
Thanks end enjoy!
Saturday, October 25, 2008
Saturday, October 18, 2008
Monday, September 15, 2008
Louis Liebenberg explaining Cybertracker
Becoming a regular Contributor to the IPACC Blog
If you feel that you would like to regularly blog about a specific issue, or issues in general, please send us an email [ipacc.blog(at)gmail.com], and we will send you an Invitation to become a Regular Contributor.
Sunday, September 7, 2008
GIT TEK Workshop IPACC/CTA Namibia Video
Now for a quick Video showing some activity
Enjoy!
Monday, September 1, 2008
Saturday, August 30, 2008
mohamed in namibia
The workshop is over. It was a nice time for sharing our experiences and learn, please leys stay in touch through this blogto keep things moving. Hope everybody found his family, tribe and clan very fine,
Ewangaye Mohamed
Friday, August 29, 2008
Thursday, August 28, 2008
Demonstration video from Web 2.0 Presentation
As promised during the Web 2.0 presentation yesterday, here's the short video clip I took on my cellphone. I should have taken Peter Kuria's advice to "pan the camera slowly", but since this is just an example, I think we can let the aweful video quality slide this once. I'll try and do a clearer, better quality clip before the end of the workshop and post it here.
The steps I followed to get this video online are quite simple.
1) I captured a short clip on my cellphone video camera
2) Using Bluetooth, I sent the video to my laptop computer.
3) I then logged on to www.youtube.com and created a free account, to which I uploaded my video.
4) After uploading, Youtube provided me with a small piece of html code. I copied that code down, and logged in to the IPACC.blog, added a new post, and pasted the code into the post. And voila! Here it is! Enjoy! And again, apologies for the bad filming quality - I'll pan the camera slower next time.
Dillon
L’EDUCATION COMME PRIORITE DES PEUPLES AUTOCHTONES
Avec l’arrivée de la colonisation et du christianisme, on croyait qu’ils allaient alléger la souffrance de ces créatures divines et planifier une politique qui puisse faire fortifier et sauvegarder leurs connaissances, les rendre plus visibles, encourager et soutenir leur éducation qui est une source de tout developpement, comme ils le faisaient aux autres composantes des nations respectives.
Or, la situation a été davantage plus compliquée et a mal tournée contre les Peuples Autochtones. Aujourd'hui, il serait difficile, même si on utilisait des moyens plus sophistiqués pour compter le nombre de Savants, des Docteurs, des maîtres et des Licenciés qui ont existés dans le monde. Combien existent à l’heure actuelle pour les autres composantes de ces nations? Combien de ces éléments cités, existe et ont existé dans les Autochtones depuis que le monde ait été baptisé ainsi ? Des recherches déjà faites, parlons cette fois ci de l’Afrique ; montent qu’il n’y a pas dix ans, pour n’en extrapoler ; qu’il a existé un licencié autochtone. Les raisons n’en étaient autres que la discrimination, la marginalisation et la pauvreté après avoir été expulsés des forêts sans indemnisation ni autre forme d’accompagnement. Aujourd’hui, les Autochtones sont en train de sortir timidement de la coquille de la discrimination et de la marginalisation mais la pauvreté reste braquée sur leurs portes. Les enfants commencent à aller à l’école mais des barrières restent énormes.
Que faut- il faire actuellement? Il est grand temps que les Gouvernements, les Agences des Nations Unies, les Eglises, les Organismes internationales et nationales et les gens de bonne volonté fassent des actions concrètes et interventions intensives en matière de la scolarisation des enfants autochtones et en fassent une priorité dans leurs programmes actions.
HABIMANA Léonard
Unissons-nous pour la Promotion des Batwa « UNIPROBA » (Burundi)
e-mail : lhabimana2002@yahoo.fr
Wednesday, August 27, 2008
Importance of Mother Tongue! Indigenous Language (Mbororo)
La langue maternelle transmise de génération en génération constitue un élément important de l’identité de toute communauté. Il est donc important qu’on la pérennise, la protége et la garde précieusement dans nos communautés respectives. Et cela pour un certain nombre des raisons principales.
D’abord en tant que déterminant identitaire, la langue maternelle est un élément de la diversité et de la richesse culturelle de nos communautés. La langue maternelle est dans notre société d’aujourd’hui comme signe de différence positive et/ou négative. Elle peut être une manière de regarder, de voir l’autre, de concevoir les relations avec les autres.
Ensuite, la langue maternelle est un outil de transmission des savoirs, de la connaissance de l’histoire, des ancêtres fondateurs. Elle permet de transmettre l’éducation de base au sein des communautés. Par exemple chez le peuple peul Mbororo du Tchad, le « PULAAKU » qui est le code de conduite morale que doit assumer tout peul est enseigné uniquement en langue maternelle peule.
LE ROLE QUE JOUE LA LANGUE MATERNELLE DANS LA SOCIETE
En se basant sur ma langue maternelle autochtone « PEULE MBORORO», une langue très belle et chantante, il est vital pour nous de la préserver. Cette langue, aujourd’hui, joue un rôle essentiel dans notre société. En effet face aux mutations diverses (sédentarisation, disparition du cheptel et des espaces naturels de migrations saisonnières, scolarisation, etc.) qui affectent la communauté, elle constitue le principal référentiel culturel porteur de notre identité et de nos traditions. Comme dit plus haut, elle est à la fois, le réceptacle de conservation et le véhicule de transmission de nos manières d’être et de nos savoirs faire traditionnels. Bref elle nous permet de léguer nos us et coutumes de génération en génération. Or cette langue aujourd’hui se trouve menacée et risque de disparaître avec ses richesses innombrables et incalculables. Les enfants peuls parlent plus le français et l’arabe, langues couramment parlées au Tchad au détriment de leur propre langue maternelle. La langue peule est alors seulement conservée dans son intégralité par les Personnes âgées.
En outre, Il est évident aujourd’hui, compte tenu de la marginalisation et de la discrimination dont sont victimes ce peuple, en sus de ce qui a été mentionné plus haut qu’il existe d’autres phénomènes qui précipitent la disparition de cette belle langue. On peut noter entre autres :
Le refus de parler leur langue maternelle par les jeunes générations au motif que les autres vont se moquer d’eux dès qu’ils vont se rendre compte qu’ils appartiennent à la communauté Mbororo.
L’influence néfaste des langues locales suite aux nécessaires migrations imposées par la recherche de nouveaux pâturages;
l’utilisation permanente de la langue arabe comme langue de dialogue dans des secteurs publics comme les hôpitaux, les écoles, les marchés ...
Il est très important de noter un dernier phénomène, le mélange avec d’autres langues fortes. De plus en plus, les jeunes remplacent certains mots de leur langue maternelle par l’équivalent en arabe ou en français en parlant entre eux.
Il est très important que les parents donnent à leurs enfants l’envie de protéger leur langue maternelle et ses savoirs faire traditionnels, par exemple, en organisant des activités culturelles comme : le théâtre, les danses traditionnelles, la musique, la poésie, etc. Cela peut se faire au moins une fois dans l’année en célébrant la journée internationale de la langue maternelle qui est célébrée le 21 février de chaque année.
HINDOU OUMAROU IBRAHIM
Coordinatrice AFPAT
Contact: (+235) 629 25 19
hindououmar@yahoo.fr
IPACC Smoking out Traditional Ecological Knowledge
Mainstream humanity with their governments leading, do not consider indigenous knowledge worthy, they make decisions without consulting indigenous peoples and often displace indigenous peoples from their territories.
In pursuit of an easy life, mainstream humanity has flown to the moon and back severally to find the answers. They create gizmos of all kinds and often rape mother to achieve short term goals. They think an easy life means a good life. But contrary to their intentions, their quest for ease has introduced untold suffering and made more life unlivable! "Cities are being swallowed up by rising oceans, the elderly can not now enjoy the streets during summer lest heat waves suffocate them, the rain patterns is causing immense confusion threat mankind's food security, and humanity is in a state of panic!" observes Peter Kuria of Shalin Ry, a Finish NGO
The once despised indigenous peoples are now increasingly being sought out for answers. The main question is .... how do we manage to live in harmony with nature? Without disturbing it yet at the same deriving immense benefits from it?
The Indigenous Peoples of Africa Coordinating Committee (IPACC) is assisting us indigenous peoples from all over Africa to tell the world how we do it. "Through Participatory 3 dimensional mapping and now cybertracker technology, we will now be able to tell our story," comments Francis Kakwetin, an Ogiot from Kenya.
The two technologies will help collect and collate our traditional ecological knowledge, record it via GPS and create geospatial data that will be crucial in monitoring biodiversity and climatic changes. "The technologies will assist in packaging the TEK in a way that can be understood by mainstream scientist and their governments." comments Dr. Nigel Crawal, IPACC Director of Secretariat. "Hopefully, the decision makers will use this knowledge to formulate ecologically friendly policies. It will also stimulate the recognition of the rights of indigenous peoples." he adds.
And by bringing together a cross section of Indigenous Peoples from all backgrounds in Africa - pastoralists and hunter gatherers from both desert and forests to learn and share together with the world leading minds on cybertracker and participatory mapping technologies in a workshop in Windhoek, Namibia, IPACC is marrying the old with the new, the "primitive" and the modern to give the world what it so desperately needs to survive.
"We just hope that governments, NGO's and the business community can pause and listen" laments Mary Simat, IPACC chairperson.
By Kanyinke Sena
TEK/GIT
Adam Kuleit Ole Mwarabu
Parakuiyo Maasai Tanzania
Tuesday, August 26, 2008
RDC : Médecine traditionnelle reconnue par l'OmsDIA
Selon M. Ndomikolaye, l'institution par l'Oms de la Journée africaine de la médecine traditionnelle le 31 août de chaque année, prouve le sérieux avec lequel la médecine traditionnelle est exercée par les praticiens. Il estime que pour être reconnu, celui qui exerce la médecine traditionnelle doit appartenir à une association des tradi-praticiens. A en croire le phytothérapeute, deux associations de ce genre existent déjà en RD. Il s'agit notamment de l'Union nationale des guérisseurs du Congo (Unagco), dont la création date du 16 juin 1985, et de l'Association des phytothérapeutes du Congo (Apc).
Ce phytothérapeute a donné l'information suivante : "Le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle et des plantes médicinales, Pnmt/pm, oeuvrant sous la supervision du ministère de la santé, a pour mission de développer et de promouvoir la médecine traditionnelle ainsi que de réaliser son intégration dans le système national de santé. Cette structure est également chargée d'organiser et de coordonner la promotion et la recherche sur les plantes médicinales".
- Recherches sur les plantes qui soignent
M. Ntondele Diazolo Basile, pharmacien chercheur éthno pharmacologue, travaille pour le transfert de la recherche appliquée sur les plantes médicinales. C'est dans ce cadre qu'il dirige le Centre de recherche et de production des médicaments traditionnels améliorés (Crmta). "Les médicaments commercialisé s par cette structure sanitaire ont déjà reçu l'autorisation de mise sur le marché en RDC et en République du Congo", a affirmé le chercheur congolais.
D'après M. Ntondele, les pharmaciens qui travaillent dans ce centre de recherche sont tous formés dans les universités de la place. Il s'est dit entouré des pharmaciens car ceux-ci sont les spécialistes des médicaments. "Ces spécialistes ont la maîtrise des mécanismes de l'agir des médicaments dans le corps humains", a-t-il conclut.
John KATANGA
Chargé de Recherche et Développement
PREMI congo/Réseau Ressource Naturelle
Kanyinke in Namibia
Annetta Bok Ipacc member
My name is Annetta Bok i am from the Khomani San community based in the Kalahari dessert in South Africa.Iam in Windhoek attending a workshop on Advocay and Biodiversity.
Monday, August 25, 2008
GIT/TEK Workshop in Windhoek, Namibia
Today has been our first day into our four days long workshop on GIT/TEK in Windhoek, Namibia. Since it was quite a relaxed day in terms of the scheduled activities, it was filled with alot of IT training ranging from blogging to plotting locations and the usage of Google earth. We became experts in a short time. The challenge we are faced with is to think of ways that will help us to translate the knowledge we have acquired into advocacy and lobbying tools. I am hoping that by the end of the workshop we shall come up with clear strategies on way foward keep these technolgies alive and thus keep each other informed.
Nathanael
INFO SUR LA NAMIBIE
je suis en Namibie avec IPACC, nous travaillons sur la cartographie et la haute technologie. je crois apprendre beaucoup des choses d'ici la fin de cette semaine. Vu les problemes des terres que nous avon dans nos communautes.
Windhoek est une tres belle ville que j'ai connu en Afrique. c'est une petite ville mais incroyablement propre!!! Waouuuuuu! enjoy it!
Hindou
nouvelles workshop
je suis en Namibie afin de perticiper au workshop GIT/TEK
je sens que je vais apprendre des bonnes choses
John KATANGA
Cartographie des sites des peuples autochtones en RDC
Les travaux de cartographie participative des peuples autochtones de la province du Bandundu démontrent que le territoire de ces derniers a été concédé aux exploitants forestiers sans la consultation préalable des autochtones.
En espérant qu'une suite favorable nous sera réservée de votre part, nous vous prions de bien vouloir apporter votre soutien dans ce dossier.
Barthélemy Boika
Directeur des programmes CEDEN
Drought Situation in (Kunene) Namibia
First day at IPACC TEK meeting
Land dispute in Kunene Region; Namibie
IMPROVEMENT OF ARID AND SUB-HUMID LANDS IN UGANDA AND NAMIBIA
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Reconnaissez nos droits
Nous ne vous destons pas, nous ne vous aimons non plus!!! Nous voulons juste que vous reconnaissiez nos droits, vous qui décisent sans qu'on vous délégue le pouvoir de le faire. Est ce trop demandé de vous dire, faites un effort chaque matin que vous faites face à vous même, à travers le mémoir de la salle de bain, de méditer votre existence et celles de ceux que vous faites souffrir, par vos décision, vos politiques au goût du dégoût; Reconnaissez nos droits. |
Envoyé avec Yahoo! Mail.
Une boite mail plus intelligente.
Property right
This is to inform you that there are people seen coming into our
conservancy claiming to have your consent. These people interview and
take pictures of our area. We have engaged our lawyer and this seems
to be going nowhere. The local people are very unhappy with these
trespassers. Can you advice in this?
Conservancy President
Moses Morris
Save our land in gabon
La conservation de nos jours est une preoccupation mondiale. A cet effet, nous vous prions de prendre de mesures de concretes visant a proteger les espaces sensibles dont dispose notre pays. |
Envoyé avec Yahoo! Mail.
Une boite mail plus intelligente.
IPACC WORKSHOP
Lettre à mon fils l"africain
Je vous écris ces quelques lignes de Namibie, je sais qu"en ce moment même tu penses à moi: tu penses aux amis que je vais rencontrer, aux sujets concernant Tamazight que nous allons discuter.
Je pense à toi et à ton frère, et je me dis peut être qu"ils savourent les morceaux de chansons d"Amarg Fusion, ou peut être qu"ils cherchent les meilleurs schémas de combattre les gourous des imazighen.
Quelques soient vos occupations, je pense à vous et je suis fier que vous soyez fiers de votre identité entant qu"amazighs. Chaque jour je lis dans vos yeux l"intérêt de mon combat modeste en faveur des droits de notre peuple.
tayri nu...ar tayyadê
HITOUS ABDALLAH
Good Advocacy Workshop In Namibia
We as participants in GIT/ TEK Workshop in Namibia are happy to have met for the first time.We do anticipate to transform this ideology to a practical programme activity designs so as to improve our indigenous organisations in mapping and cybertracking.
Best Regards,
Topoth Charles /Rhoman Charles
UGANDA /NAMIBIA
git/ tech. workshop
satau
notre arrivee dans blog Ipacc
Nous sommes heureux de vous rejoindre dans le blog Ipacc.
Nous sommes MM. Biteghe Rossy, Nziengui Benoit et la presence d'une jolie dame Giulia Pedone venant d'Italie.
Rossy et Benoit viennent du Gabon petit pays situe en Afrique centrale, riche en flore et en faune. Sa foret couvre 85% du territoire national.
Rossy est membre actif de MINAPYGA, responsable de la jeunesse Bakoya ( peuple autochtone de la region de l' Ogooue Ivindo plus precisement a Mekambo).
Benoit vient du Sud du Sud Gabon dans la region la Ngounie ou vivent des Babongo ( peuples autochtones avec lesquels il travaille en sa qualite de conservateur du Parc national de waka).
C'est un reel plaisir de participer a cet atelier.
Message from IPACC's interns
Hello everyone! We are the IPACC Interns, and have been working in the Cape Town office for three months.
We arrived at Harmony Centre a bit before dinnertime yesterday, Sunday the 24th, after two full days of driving from Cape Town. After getting ourselves settled into our chalets we joined the arrived delegates for super. Even though we were tired, we were energized after having the chance to learn in a fun way a lot about where everyone was from and the work they were doing.
As more and more delegates arrive today, we look forward to all the exciting work this week!
Salut tout le monde! Nous sommes les stagiaires d'IPACC, et avons travailler dans le bureau à Cape Town pendant trois mois.
Nous avons arrivés à Harmony Centre hier soir un peu avant le souper, après avoir conduit pour deux jours de Cape Town. Après avoir laissez nos bagages nous avons manger avec les délègues qui étaient déjà arrivés. Même qu'on était fatigué, nous nous sommes beaucoup amusés en discutant et apprendre plus des un des autres.
Nous attends avec anticipation le restant des délègues, et le restant du conférence!
Friday, August 22, 2008
Welcome
IPACC is preparing for a Pan-African workshop on how geospatial information technology (GPS, GIS, participatory mapping and cybertracker technology) can be used by indigenous peoples to ensure their recognition as stakeholders in land and natural resources management, conservation and climate change discussions.
This blog will be launched at the Workshop and encourage participants to express their thoughts and comments, experiences and lessons on the workshop processes.
IPACC will also be attending the IUCN's World Conservation Congress in Barcelona, Spain in October 2008, and IPACC members will meet in Marrakech, Morocco in November for a joint workshop with Conservation International on Climate Change, Adaptation and Mitigation.
Would you like to contribute to this blog?
At each venue, IPACC will set up a computer system with access to this blog.
If you have your own laptop or PC, and would like to be a regular author on this blog, please email your request to ipacc.blog@gmail.com for an invitation.